Un poème, d’un souffle, glisse sur la page, se propage. Simon Marsan couche des mots inspirés, invite le vent à rejoindre le sol. Rythme et air rassemblés, cadencés, espacés, accordés. Des lettres noires, des espaces blancs, l’écriture touche des airs mélodiques. Sus(ouff)urer le vent, nous transporte vers la matérialité du langage, à son essence musicale […]